« Le 26 février 1702, le bourreau se rendit à Campan pour procéder à l’exécution
de deux faux-monnayeurs. Deux cordes furent placées à une forte branche d’un gros
chêne, au quartier de Layris, et les deux faux-monnayeurs furent pendus. Ce chêne
se trouvait dans l’emplacement occupé par le nouveau cimetière. Cet arbre était mort
sur pied en 1866 et on l’appelait le chêne des pendus. » -Monographie communale
de Campan en 1887.
Le même endroit en 2012. Le chêne a disparu, mais un autre arbre gigantesque a pris
la place.