Arbres remarquables
Lannemezan
L'Arbre de la Liberté (encyclopédie Wikipédia)
Les premiers arbres : 1789-
À l’époque de la Révolution, par imitation de ce qui s’était fait en Amérique à la
suite de la guerre de l’indépendance avec les poteaux de la Liberté, l’usage s’introduisit
en France de planter avec cérémonie un jeune peuplier dans les communes françaises.
L’exemple en fut donné, en 1790, par le curé de Saint-
L’élan de 1792
Les plantations d’arbres de la liberté se multiplient au printemps et à l’été 1792 : la France, en guerre contre l’Autriche, est saisie d’un élan patriotique, et la défense de la patrie se confond avec celle des conquêtes de la Révolution. L’arbre devient donc un symbole fort de l’idéal révolutionnaire.
Le peuplier est alors préféré au chêne et, dès le commencement de 1792, Lille, Auxerre
et d’autres villes plantèrent des arbres de la liberté. Quelques mois après, plus
de soixante mille de ces arbres s’élevèrent dans toutes les communes de France, d’après
l’abbé Grégoire. D’après le marquis de Villette, Paris en possédait plus de deux
cents. Louis XVI lui-
Renouveau après 1870
Le retour de la République, en 1870, fut l’occasion de planter de nouveaux arbres.
Cependant, le contexte (guerre franco-
Photo 1910. L'Arbre de la Liberté, près de la Mairie (planté vers 1889-
L’arbre de la Liberté (disparu)
A voir aussi à Lannemezan, la remarquable « plantade » du bois du Guérissa à la sortie de la ville, juste après le tunnel du chemin de fer.
Les arbres de la plantade
Panneau explicatif.
Le séquoia géant
Rue Carnot, en direction de Galan, ce séquoia de 34 mètres de haut, planté vers 1850, appartient à un jardin privé.
Savez-
La Demi-