Voici ce qu’écrit Norbert Rosapelly en 1918 : « Quand on se rend du village de Nouilhan
à la station de chemin de fer de ce nom, située dans la forêt de Marmajou, on coupe
la route de Vic à Maubourguet, et l’on traverse une pelouse ombragée de chênes plusieurs
fois centenaires. C’est sur la pelouse de droite, à l’est de la maisonnette bâtie
à l’orée du bois de la Montjoye, que se dresse le doyen de la forêt de Marmajou.
Son fût doit avoir plus de 7 mètres jusqu’aux branches principales ; sa circonférence
est de 5m 53 à un mètre du sol. Dépérissant, il aurait été abattu à la fin de 1916.