Voici ce qu’écrit Norbert Rosapelly en 1918 : « La mairie est bâtie sur l’emplacement
d’un très vieux et beau chêne appelé Lou cassou de Triàu (le chêne de Triaou). Des
buses et des milans se posaient fréquemment sur cet arbre. Les habitants d’Oroix
criaient alors, pour épouvanter ces rapaces Houo, houo, hou ! À l’àuserou du cassou
de Triàu. La buse, la buse, hô ! Les oiseaux sur le chêne de Triaou ! ».