Voici ce qu’écrit Norbert Rosapelly en 1918 : « L’an XIII de la République et le
Ier de l’Empire français, 23 pluviôse (14 février 1805), le Conseil municipal de
Rabastens arrête qu’ « il sera planté des arbres chênes, ormeaux et publiers et tels
qu’ils seront reconnus propres à la nature du terrain, pour les dits arbres servir
de bornes au territoire et indiquer la ligne divisoire avec les communes environnantes ».
(Archives de Rabastens, registre des délibérations) - L’arrêté de septembre 1804
sur la délimitation des communes et le bornage des sections prévoyait la plantation
de chênes, d’ormes et de tilleuls ou autres arbres convenables au sol. Les peupliers
devaient réussir dans certaines parties humides du territoire de Rabastens. »